au Patou Trail
crédit photo Christine Robert
Les trails de Saint Lary : km vertical , Trail des Mouscades 18 km et sky marathon 45 km et 3600 D+
Il y fit bien chaud, et les parcours n'y sont pas réputés faciles . Donc pas mal d'abandons.
A l'ACA ce furent 8 coureurs répartis sur différentes formules, et des résultats a la clé , malgré la difficulté , comme l'évoque Eric «Le trail est très physique avec un très fort dénivelé au départ et aussi très technique avec une descente très longue, qui casse les coureurs qui ne savent pas sauter de pierre en pierre pour éviter de se freiner avec les jambes, et nécessite une parfaite maîtrise pour alller vite sans chuter » :
Eric Thursch sur le Trail des Mouscades est 1er V3, au scratch 54 ème/260, avec 2h 07
Christine Robert en duo sur le team race 45 km : 8h25'17 a deux pour une 2eme place / 4
Se sont aussi embarqués sur le Trail des Mouscades : Patrick Teixeira, Jean Luc Rigoulet, Stephane Sabardeil, Stephane Castillo Ros, Jean Francois Robinet et Laurent Lessmann. Ce dernier n'a pu aller au bout malgré un très bon positionnement , suite à une mauvaise chute sur des ardoises. Cedric était également de la partie.
Article presse du mercredi 1 er juillet
le 30/06/2015 Ã 20h52Réagir0 commentaire(s)
La Crémaillere de bagnères de Luchon
Crédit photo Christine Robert
Avec ses 5,600 m et 1170 de D+ en 1h12'37"Christine Robert termine 7 ème féminine/20 , 3 ème v1/7 49 ème sur 91
Podiums 2 ème féminine au championnat régional, une course à label FFA et 3 ème dans sa catégorie .
« Très beau parcours, une montée à plus de 20% un vrai bonheur »
Eric Thursch y était également, et arrive 5 eme V3M 1h 07 52 , passage au km vertical en 56’ 45 « C’est mon premier Km vertical.Très étrange ! on ne peut vraiment courir que sur quelques portions où ça ne monte pas trop, on marche à fond ; et cependant la fréquence cardiaque est dans le rouge! je ne suis jamais resté aussi « haut dans les tours » pendant 1 heure ; à vous couper le souffle ( le paysage l’est aussi). Curieusement, même pas mal aux jambes., ça vaut mieux 15 jrs après un 24 h. »
Crédit photo Brice Rohaut
Une épreuve qui a donc ravit Eric qui ne tarit pas d'éloges pour Christine et son résultat , si élégante sur le sentier abrupt .
le 22/06/2015 Ã 19h16Réagir0 commentaire(s)
Double podium pour Christine Fadelli
Vendredi 12 juin , Christine était dans le flot de coureurs qui ont envahi les rues de l'Isle Jourdain, pour un 3 km , qu'elle boucla en 13'22 pour une 2eme place V2F
Crédits photos Christian Escalas
Et dimanche, 3éme édition du Desperado Trail de Revel (31) et comme pour la première ou 3 membres de l'ACA avaient fait le déplacement, ce fut une météo pluvieuse hier et dans la nuit, des orages , de la grisaille ce matin et quelques gouttes.
Les sentiers monotraces en foret de la montagne noire n'étaient pour autant pas non plus de gadoue totale, et ce fut une belle sortie nature, pour des circuits très plaisants, mais toujours difficiles à négocier. Le dénivellé n'est pas extraordinaire, mais il décline quelques belles buttes pour casser les rythmes, de longues descentes sous les bois, tres sombres et quelques passages de ruisseaux pour raffraichir les muscles, un vrai bonheur.
Les deux parcours , légerement modifiés , étaient superbes et les traileurs de la région ne s'y sont pas trompés car pour cette troisieme année , il y avait affluence autour du lac(plus de 1000).
Christine Fadelli sur le 12 km et 300m D+ fait un podium , comme souvent : 1ere V2F/21 et 7eme femme /161 en 1h03'02
Dominique Clavaud sur le 22,5 km et 724 m D+ termine 9eme V1F/23 en 2h45'16 et 26eme femme /66
crédit photo Dominique Clavaud
le 14/06/2015 Ã 16h57Réagir0 commentaire(s)
24h00 d'ALBI, le récit de course d'Eric
Crédit photo Yvan Arnaud
Conditions très dures, avec 40 ° sur le tarmac dans l’après-midi, comme l’illustre la photo jointe. Et comme si ça ne suffisait pas, il y a des accélérations très brutales de certains concurrents, changements de rythmes que je ne peux pas suivre. Cela fera de la casse plusieurs heures après, j’en suis persuadé. Je me contente de ne pas perdre trop de terrain, ni de ne pas trop baisser mon rythme propre au fil des heures, ce qui est inévitable sur un 24h, avec la casse musculaire. Le soir, je suis à seulement environ 1 km du premier, mais je l’ignore . Et même si je le savais ça ne changerait rien, car avant la mi-course, rien n’est acquis sur une course d’endurance. S’alimenter, s’hydrater correctement, ne pas perdre trop de sodium, ça peut paraître compliqué sur marathon, mais là, c’est une autre histoire.
Et puis, quelle malheur, 2 doigts de pied ruinés sur une barrière métallique de sécurité, à 5 h de la fin en doublant un concurrent. Une féminine s’y esquintera joliment elle aussi, la figure toute rapée!
J’avais de l’avance sur le 3ème, et je voulais conserver ma place de 2nd. Faire le vide tout simplement ( facile à dire) pour oublier la fatigue, les forces qui manquent, les jambes qui flanchent, le pied qui fait mal . Et ça fonctionne, c’est comme une méditation en acte, qui permet de persévérer dans un mouvement sans fin, pour aller au bout de la nuit.
Je n’arrive toujours pas à réaliser que j’ai devancé Jean-Pierre Guyomarc’h ( 260 km sur 24 h, il y a 30 ans ! ) et Roland Vuillemenot ( champion du monde, 5 fois champion de France !) alors que je participais pour la première fois à un 24 h.
Je n’arrive pas à la cheville de ces légendes vivantes de l’ultra marathon. Je considère que mon résultat est dû à la très forte chaleur qu’ils n’ont pas supportée aussi bien que moi.
Si je l’ai fait c’était donc faisable, et il n’y a donc rien d’exceptionnel, si ce n’est une expérience nouvelle pour moi, qui me fera progresser pour me permettra de continuer à prendre de plus en plus de plaisir, en étant plus facile dans les moments pénibles. C’est pour moi le plaisir qui compte le plus : le classement, les récompenses ne sont que la conséquence logique d’une bonne préparation, d’une bonne gestion de course, de conditions favorables le plus souvent imprévisibles, et surtout d’une maîtrise mentale qui s’apprend petit à petit. Evidemment, ça fait flatte l’ego de faire un bon résultat en compét ; c’est une satisfaction non négligeable, mais en fin de compte bien secondaire, et parfois source d’excès, de désillusion, puis d’amertume.
L’ambiance et la convivialité, la solidarité et l’empathie des coureurs les uns envers les autres font vraiment plaisir. Fair-play, désintéressement et humilité vont de soi - pas de triche ni de vanité, dans la réalité de la course de fond. Réunis autour d’une même passion de la course extrême, ça fait chaud au cœur, ce partage c’est que du bonheur ! Alors, l’addiction aux endorphines, la recherche du plaisir dans le masochisme sportif, ce ne serait que des bobards pour donner bonne conscience aux sportifs en pantoufles devant la télé , aux accros à la Kro - tellement plus savoureuse quand on regarde ceux qui transpirent pour d’obscures raisons ?
crédit photo Yvan Arnaud
Eric termina 2em V3 , voir ICI
le 14/06/2015 Ã 16h31Réagir0 commentaire(s)
26 eme foulées Portes de Gascogne
Dimanche 7 juin 2015
Thierry Heuet 5eme au scratch et 1er V1M en 49'05
le 09/06/2015 Ã 13h33Réagir0 commentaire(s)